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Une chevauchée extatique

En ce dernier week-end de mars 2024, j’ai très envie de jouer avec Guillaume, de le faire venir à moi, qu’il puisse m’appartenir comme il se doit.

L’après-midi est déjà bien avancé en ce samedi 30 mars. Il est en train de nettoyer un peu de vaisselle, j’en profite alors pour aller le voir. Alors qu’il a les mains prises, j’en profite pour me coller contre son dos et le plaquer contre l’évier de la cuisine. Je passe mes mains sur son torse puis sur ses fesses en lui susurrant des mots crus à l’oreille. J’adore le surprendre comme cela. Je sais que cela l’excite et moi aussi.

Je joue quelques instants avec lui avant de lui dire :

– Il est bientôt 17h, je te laisse 10 minutes pour aller mettre ton plug et revenir me voir.

Sa réponse ne se fait pas attendre et je n’en attendais pas moins de lui :

– Oui Maîtresse, je termine d’essuyer la vaisselle et je vais le mettre.

Je l’abandonne à son sort afin de vaquer à mes occupations. Après quelques instants, je l’entends aller à la salle de bain pour se préparer. Je l’entends sortir plusieurs dizaines de minutes plus tard. L’air de rien, je ne peux m’empêcher de lui dire :

– Nous avons oublié d’acheter plusieurs choses au supermarché, il faut que l’on y retourne…

Il esquisse comme moi un léger sourire en coin. Il sort pour amener la voiture puis je le rejoins. Nous faisons quelques kilomètres avant d’arriver au dit supermarché. Notre promenade dure un peu, celle-ci n’étant un prétexte que pour l’exciter davantage. Alors que nous faisons la queue à la caisse, je lui demande :

– Comment vas-tu ?

– Plutôt très bien, je me sens rempli.

– C’est bien, j’aime savoir ce que tu portes et que tu le fais pour moi.

– J’aime pouvoir vous servir de la sorte.

Nous sortons du magasin. En arrivant à la maison, il est déjà 18h30 passé.

– Je te laisse ranger les courses, je vais prendre une douche. Rejoins moi dans la chambre d’ici 20 minutes.

– Bien Maîtresse ce sera fait.

Vers 19h, je l’entends arriver dans la chambre. Je le devine se déshabiller, ne garder que son string et son plug. Je le laisse m’attendre comme il se doit. Je termine de me maquiller. J’ajuste mon chemisier et ma jupe et je sors le rejoindre.

Je le découvre tel qu’attendu : nu en string.

– Vous êtes très belle Maîtresse.

– Merci mon soumis, tu n’es pas mal non plus. Viens m’embrasser.

Il s’approche de moi, se met à ma hauteur, baisse la tête de sorte que je ne doive pas faire d’effort pour l’embrasser. J’en profite pour attraper sa tête par les cheveux. Cela m’excite tant de le tenir de la sorte. Je relâche mon étreinte.

– Ma tenue vous plaît Maîtresse ?

– Pas totalement, tu es encore trop habillé. Mets toi nu.

Je le regarde descendre son string, il ne peut plus cacher son érection. Je lui tourne autour. Que j’aime être habillée et le voir nu devant moi. Je glisse mes ongles sur sa peau évitant soigneusement son sexe. Sans qu’il s’y attende, je mets deux doigts sur son plug et le pousse très fort. Je n’ai en retour qu’un râle de plaisir.

– Va chercher la cravache !

Je le vois marcher devant moi, sexe en érection. Il se baisse pour prendre la cravache dans le dernier tiroir de la commode. Je ne loupe rien du spectacle. Je vois son plug bien installé. Cela fait près de 3 heures qu’il le porte, il doit être bien ouvert. Il s’approche de moi, me donne la cravache. Je lui désigne le lit.

Il se met à 4 pattes, tend ses fesses.

– Tu es bien rempli dis moi et tu bandes bien !

– Oui Maîtresse.

– Tu es très cochon comme cela mais ça te va bien.

– J’aime vous appartenir de la sorte Maîtresse.

Avant même qu’il ait le temps de répondre les premiers coups de cravache se font entendre. J’ai un rythme lent mais régulier. Je l’entends compter les coups les uns après les autres : « 5……6……7…….8 »

J’alterne la puissance, parfois très douce et juste derrière très fort. Ses fesses rougissent vite, j’aime le voir rouge comme cela totalement soumis au moindre de mes caprices : « 21….22….23….24… »

Autour du 30e coup, je décide de poser la cravache et de jouer avec lui. Je me mets à genoux à côté de lui sur le lit. Je passe une main sur sa queue et de l’autre sur son plug. Je pose ma tête sur son dos regardant le miroir qui reflète ses fesses bien ouvertes. J’aime qu’il ne me cache rien.


Je suis toujours surprise de trouver son sexe coulant de plaisir. Je ne souhaite pas le branler, juste l’effleurer pour mieux le frustrer alors que je bouge le plug entre ses fesses. Il se cambre encore plus, cul relevé et tête contre le matelas. J’aime qu’il m’appartienne ainsi. Je joue avec ses fesses et sa queue de longue minute. Il est tellement frustré qu’il en tremble. Il est alors temps de reprendre la cravache.

– Lève toi et mets toi en position contre la commode.

– Oui Maîtresse.

Je le regarde se lever, s’appuyer contre la commode, se cambrer et me tendre les fesses.

Je me rapproche de lui, l’embrasse dans le coup. Je frotte ma jupe contre sa hanche gauche. Je sens sa queue frotter contre ma cuisse gauche.

– Tiens ta queue, fais attention de ne pas salir ma jupe, c’est celle que je vais mettre demain pour aller travailler.

Mon soumis tient sa queue avec sa main sans avoir le droit de se branler. Depuis le 15 décembre 2023, il a strictement interdiction de se caresser et ce, au minimum, jusqu’au 1er juillet prochain.

Sans le prévenir, je le cravache. Mes coups sont beaucoup plus forts que les premiers et réguliers. Je souhaite monter en intensité au fur et à mesure. : « 35…36…37…38 ».

Je ne lui laisse aucun répit, les coups de cravache se font de plus en plus forts : « 45…46…47…48 ».

Par moment, il a des cris étouffés. Il est entre le plaisir et la douleur. Il aime ça mais il est à moi.

Il continue à compter : « 55…56…57 ». Je ne retiens plus mes coups, ses fesses sont rouges écarlates. Il est beau ainsi. Enfin arrive le 60e et dernier coup, il a claqué, sans doute, comme jamais.

Je lui masse les fesses tout en lui parlant :

– Tu es un bon soumis. Tes fesses sont rouges et tu es bien rempli. Tu aimes que je fasse des vas et viens avec ton plug comme cela ?

– J’adore cela, c’est très excitant.

– Ta queue coule tellement tu es excité.

– Oui sans doute mais je ne la sens plus tant le plug prend de la place.

– Va le retirer, je t’attends.

Je le regarde queue droite, plug bien en place entrer dans la salle de bain pour aller le retirer. J’en profite alors pour me préparer également. Je retire ma jupe, attrape mon gode et le fixe sur mon strap-on. Je ne porte rien en dessous. Je glisse un doigt entre mes cuisses pour mieux vérifier que moi aussi je suis totalement excitée et que je coule entre mes cuisses.

Il rentre dans la chambre quelques instants plus tard. Il se met de tel sorte que je puisse le prendre en levrette sans même que je lui demande. Je me mets à genoux derrière lui, badigeonne mon gode et ses fesses de lubrifiant. Je me mets à la bonne hauteur puis de ma main je me guide entre ses fesses. J’aime sentir le moment où ses chaires s’ouvrent et me laissent entrer. Je n’ai pas beaucoup à forcer tant il est bien dilater.

Le gode rentre bien en lui, j’y vais doucement pour lui laisser un peu le temps de se faire à son nouvel invité. Je l’attrape par les hanches et je commence quelques vas et viens sur un rythme très léger. J’adore le pénétrer de la sorte. Passer mes mains sur son dos, caresser ses fesses. J’ai accès à ton son corps. Je peux même d’une main aller vérifier son excitation. Je le branle du bout des doigts quelques secondes pour bien vérifier qu’il coule toujours. Je suis toujours surprise de la façon dont il bande dure et du fait qu’il soit si mouiller. Perdue dans mes pensées et mes envies de lui, je décèle à peine les premiers mouvements de bassin qu’il imprime. Je me plaque contre ses fesses et le laisse aller et venir comme il le souhaite.

Ses mouvements de bassin sont précis et leurs intensités augmentent avec le temps. Il gémit de plus en plus, je sais qu’il adore se faire prendre de la sorte. Qu’il est beau ainsi à se laisser aller au plus inavouable des plaisirs. Je lui attrape les hanches très fortement, je le saisis avec chacune de me mains et décide de l’aider dans ses vas et viens sans plus de retenue. Je le baise littéralement guidée par son plaisir. J’entends le gode aller et venir entre ses fesses à un rythme rapide. Les mouvements de son bassin son si amples que sa queue vient taper contre son ventre à chaque mouvements. Je l’entends crier de plus en plus, je ne me retiens plus. Il est dans une demi-jouissance, je le sais, je le sens. Je le laisse sur ce plateau, je ralentis le rythme. Quand après quelques minutes d’un rythme plus lent, il revient enfin à moi :

– J’adore ça, que vous me preniez de la sorte, c’est tellement bon.

– Tu as joui mon soumis ?

– Je ne sais pas, c’est si bon. Cela fait comme des vagues de plaisir qui se succédent.

– Et tu aimes ça ?

– J’adore Maîtresse !

– Tu veux que l’on continue ? Sinon, je peux arrêter ?

– Non continuez si vous le voulez Maîtresse…

– Ta queue doit être triste, on ne s’en occupe pas aujourd’hui ?

– Je ne la sens plus du tout, tant tout le plaisir est situé entre mes fesses.

– Tu es une belle salope mon soumis.

– J’adore être votre salope Maîtresse.

– Oui, tu le fais si bien.

Ces quelques mots d’échanges nous ont excité encore. Le rythme est remonté d’un coup. Je le fais se cambrer au maximum. J’adore le prendre ainsi. Ses cris augmentent vite, j’ai l’impression qu’il est en pleine jouissance à nouveau. Il est beau à s’abandonner à mes plaisirs dominants. Pour rien au monde, je ne renoncerai à eux maintenant que j’y ai goûté. Je le laisse sur son plateau même si le rythme de mes allées et venues n’a pas baissé au contraire. Je décide alors de m’occuper enfin de son sexe. Je me plaque complètement contre ses fesses, le gode est placé bien au fond. De ma main droite, j’attrape sa queue et le branle sans retenue.

– Je te laisse imprimer le rythme mon soumis, fais toi plaisir !

Je n’ai comme réponse qu’un râle de satisfaction. Ses vas et viens sont profonds, rapides comme lorsqu’il me prend et qu’il est au bord d’éjaculer. Son corps et son esprit, je le sais, m’appartiennent totalement en ces instants. Ma main droite le branle totalement, ma main gauche le fesses sans retenue. Qu’il est bon de le voir se faire baiser ainsi, qu’il aime ça.

Je suis surprise par la durée de ce rythme effréné. Il tient bien alors que le gode est bien au fond et que je le branle sans aucune retenue, ce qui au regard de son état, est très très rare. Dans un élan de lucidité, et je n’en attendais pas moins de lui, il me demande :

– Est ce que je peux jouir Maîtresse ?

– Vas y ma salope, fais toi du bien !

Je le branle et le baise alors sans retenue. Je l’entends crier de plus en plus. Le plaisir monte, il se cambre, la tête enfouie dans le matelas. Les derniers mouvements dans son cul lui sont fatals, je sens de longs jets sortir de sa queue dans un râle de plaisir rarement entendu. Je l’accompagne totalement dans cette belle jouissance. J’aime savoir qu’il aime être baisé en levrette de la sorte.

Il émerge tout doucement une ou deux minutes après tant le plaisir était fort. Je me dégage de ses fesses. Je suis surprise de voir comme il a mouillé le lit témoignant de son plaisir total. Je m’allonge alors et l’invite à me rejoindre. Il vient se coller contre moi.

– Tu as bien joui mon soumis, cela à l’air de t’avoir plu.

– Oui Maîtresse, j’ai adoré ça. Je ne suis pas certain d’avoir déjà autant joui. Comme le sentiment d’avoir joui plusieurs fois.

– Intéressant. Cela démontre que plus je te prends, plus tu prends de plaisir.

– Oui sans aucun doute Maîtresse mais vous, vous n’en avez pas pris.

– Si beaucoup en te soumettant à mes volontés mon soumis.

En cet instant, je me dis que l’éducation de mon soumis est plutôt bonne dans la mesure où quelques instants après avoir joui, il pense déjà à mon plaisir. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est qu’il passera une partie de la nuit à me faire jouir avec sa langue mais ça c’est une autre histoire…

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